Difference between revisions of "Forage ou excavation"
Line 1: | Line 1: | ||
− | {{Language-box|english_link=Drilling or digging |french_link=Forage ou excavation |spanish_link=Coming soon|hindi_link=Coming soon|malayalam_link=Coming soon|tamil_link=Coming soon | korean_link=Coming soon | chinese_link=Coming soon}} | + | {{Language-box|english_link=Drilling or digging |french_link=Forage ou excavation |spanish_link=Coming soon|hindi_link=Coming soon|malayalam_link=Coming soon|tamil_link=Coming soon | korean_link=Coming soon | chinese_link=Coming soon | indonesian_link=Coming soon | japanese_link=Coming soon }} |
L’accès aux eaux souterraines n’étant pas toujours facile, cette section dresse donc la liste de différents types de forage possibles (classés par profondeur et par coûts). L’Afrique, par exemple, possède des eaux souterraines en quantité comparativement à d’autres continents. Cela dit, les forages mécaniques sont souvent trop chers pour la plupart de la population. Le forage manuel de puits peu profonds (jusqu’à 35 mètres de profondeur) réduit le prix d’un forage d’un facteur 4 à 10 par rapport à un forage mécanique. Cette baisse de coûts permet aux ONG et aux gouvernements de réaliser davantage de puits à eau et donne la possibilité aux villageois, aux agriculteurs, aux écoles et aux petites communautés d’avoir un puit construit de manière indépendante par le secteur privé. | L’accès aux eaux souterraines n’étant pas toujours facile, cette section dresse donc la liste de différents types de forage possibles (classés par profondeur et par coûts). L’Afrique, par exemple, possède des eaux souterraines en quantité comparativement à d’autres continents. Cela dit, les forages mécaniques sont souvent trop chers pour la plupart de la population. Le forage manuel de puits peu profonds (jusqu’à 35 mètres de profondeur) réduit le prix d’un forage d’un facteur 4 à 10 par rapport à un forage mécanique. Cette baisse de coûts permet aux ONG et aux gouvernements de réaliser davantage de puits à eau et donne la possibilité aux villageois, aux agriculteurs, aux écoles et aux petites communautés d’avoir un puit construit de manière indépendante par le secteur privé. | ||
Revision as of 02:18, 5 June 2015
L’accès aux eaux souterraines n’étant pas toujours facile, cette section dresse donc la liste de différents types de forage possibles (classés par profondeur et par coûts). L’Afrique, par exemple, possède des eaux souterraines en quantité comparativement à d’autres continents. Cela dit, les forages mécaniques sont souvent trop chers pour la plupart de la population. Le forage manuel de puits peu profonds (jusqu’à 35 mètres de profondeur) réduit le prix d’un forage d’un facteur 4 à 10 par rapport à un forage mécanique. Cette baisse de coûts permet aux ONG et aux gouvernements de réaliser davantage de puits à eau et donne la possibilité aux villageois, aux agriculteurs, aux écoles et aux petites communautés d’avoir un puit construit de manière indépendante par le secteur privé.
Considérations sur le changement climatique
Compte tenu des conséquences du changement climatique, telles que les sécheresses, certaines nappes d’eau souterraines pourraient se tarir, d’où la nécessité d’effectuer des forages plus profonds (entraînant des dépenses plus importantes). Mieux vaut éviter le aquifères perchés (les aquifères plus élevés que la surface de la nappe) étant donné que certains aquifères fourniront moins d’eau en périodes de sécheresse. La qualité de l’eau des aquifères côtiers doit être vérifiée en raison de la possible présence d’eaux salines.
Contents
Expériences de terrain
Ces projets sont susceptibles de réaliser des forages ou des excavations et figurent sur la liste de projets dans Really Simple Reporting (RSR) sur Akvo.org.
Comparaison des méthodes de forage manuel
Forage manuel : liens
- VIDEOS : Manual drilling and pump installation, Madagascar par The Water Channel. .
- Human-Powered Drilling Technologies, Richard Carter, Université de Cranfield, 2005.
- Groundwater and climate change in Africa: The Kampala Statement. Richard Taylor, University College de Londres (Royaume-Uni), Commission sur les eaux souterraines et le changement climatique de l’Association international des hydrogéologues (AIH).